Changement de « décor ». Jean Lebas, son fils et sa nièce sont transférés à la prison Saintt-Gilles de Bruxelles en attente de leur procès. On comprend dans les lettres de Jean que ce procès se fait attendre avec impatience. On ressent l’ennui de l’isolement, le manque de la famille et des amis, mais surtout l’espoir de revenir.