Depuis 1896, le parcours est immuable ou presque, seul change parfois le lieu de départ sur Paris.
Il emprunte des routes nationales et remonte vers Roubaix en traversant le centre de différentes villes comme Pontoise, Beauvais, Amiens ou Arras.
Des difficultés diverses attendent les coureurs : la côte de Doullens, le piton de Mons-en-Pévèle, le virage de Wattignies ou la tranchée de Wallers-Arenberg.
Après la Première Guerre mondiale, comme la course renaissante s’aventure sur un terrain ravagé par la guerre, on lui donne le nom de L’enfer du Nord.
Si les spectateurs sont présents sur l’ensemble de la course, ils sont encore plus nombreux à l’arrivée au vélodrome.