Début août, les alliés passent à l’offensive générale dans la Somme, près d’Amiens où ils engagent 800 avions et 400 tanks. Ils prennent rapidement le dessus sur un ennemi qui parait renoncer. Erich Ludendorff va jusqu’à parler, pour son armée, de « deuil »… Partout les forces du Reich, à bout de forces, cessent le combat ou battent en retraite. Dans le même temps, les empires centraux affrontent une offensive franco-italienne dans les Balkans. Les troupes du général Louis Franchet d’Espèrey attaquent les positions ennemies à partir de la Grèce et de l’Albanie. Le 29 septembre, la France et la Bulgarie signent un armistice. Les semaines qui viennent de s’achever confirment la défaite allemande.