Au début du XXe siècle, les vacances sont le privilège de l’aristocratie.
Ces dames et messieurs, souhaitent prendre soin d’eux-mêmes et découvrir des stations balnéaires, thermales ou montagnardes.
De nouvelles gares sont ouvertes ; des routes sont creusées ; des wagons-lits et wagons-restaurants sont crées pour plaire à cette population appréciant le luxe ; des « billets excursions » à durée limitée pour une destination particulière sont imaginés…
Tout est fait pour inciter cette population à profiter de la nature.
Dans les années 20, la possession d’une voiture rend les déplacements plus fréquents. La famille peut désormais prendre la route les jours de fêtes et durant les vacances. Assis au volant, l’automobiliste découvre la France, libre de ses horaires et du choix de son itinéraire, il dispose de son temps et du rythme qu’il donne à son voyage.
L’achat d’une voiture n’est pas possible pour tous : seuls les plus chanceux profitent de ce nouveau moyen de locomotion, synonyme de voyage.