Après une promenade au parc ou lorsque le temps est vraiment mauvais, il faut trouver à s’occuper et à occuper les enfants à la maison. Les plus jeunes peuvent construire des châteaux ou des maquettes, jouer à la poupée, faire des perles ou des puzzles, dessiner… Les plus vieux réfléchissent en jouant aux cartes ou aux échecs.
Il est agréable de se retrouver ensemble, en famille ou entre amis, tous réunis autour d’un même jeu, se disputer la victoire au jeu de l’oie, aux petits chevaux ou bien encore aux jeux de cartes comme le rami, vérifier que l’un ou l’autre ne triche pas, bref partager un beau moment convivial.
N’oublions pas que nos ancêtres jouaient déjà beaucoup : très tôt les dés et les dominos, puis au Moyen Age et à la Renaissance c’est l’explosion des jeux de cartes (comme les tarots), vient ensuite l’émergence des lotos et des loteries et enfin apparaissent aux XIXe et XXe siècles le spectacle et l’industrie du jeu (billard, machines à sous). Finalement, nous ne faisons que perpétuer les traditions !
La période des fêtes de fin d’année est connue pour celle où l’on chante le plus. Historiquement, les chants de Noël sont des chants joyeux évoquant la Nativité. Au Moyen Age, on joue les « mystères de la nativité », forme de théâtre populaire où sont mis en scène les chapitres du Nouveau Testament relatifs à la naissance de Jésus. Ces saynètes accompagnées de chants spécifiques, les chants de Noël, évoluent vers une forme qui se concentre sur l’annonce faite aux bergers. Très en vogue à la cour du roi de France au XVIIIe siècle, les pastorales sont encore populaires dans certaines régions comme la Provence. Dans certaines paroisses, les enfants jouent encore des passages de la Nativité, accompagnés par des chants de Noël répétés à la maison.
Le plus ancien chant de Noël français ayant subsisté jusqu’à aujourd’hui est le cantique « Entre le bœuf et l’âne gris » : il remonte au début du XVIe siècle. Dès le plus jeune âge, on entonne à pleine voix « Vive le vent » puis progressivement en se rapprochant de la fête des enfants, le traditionnel « Petit papa Noël », sans oublier l’indétrônable « Adeste fideles ».
Pour celles et ceux qui n’aiment pas chanter, il est toujours possible de lire des histoires, et en cette période, ce sont les contes de Noël les plus appropriés. Ces contes commencent à circuler au Moyen Age : les animaux, dotés d’intelligence et de paroles, mais aussi les anges et les lutins y occupent une place de premier choix. Les contes sont transmis oralement sous forme d’histoires, parfois moralisatrices. Le miracle se mêle finalement au merveilleux pour une histoire à raconter lors de la veillée de Noël. Mais en attendant, on lit ou on écoute ses parents lire de belles histoires, comme L’enfant de Noël, Le sabot de Noël.
Il est agréable de se retrouver ensemble, en famille ou entre amis, tous réunis autour d’un même jeu, se disputer la victoire au jeu de l’oie, aux petits chevaux ou bien encore aux jeux de cartes comme le rami, vérifier que l’un ou l’autre ne triche pas, bref partager un beau moment convivial.
N’oublions pas que nos ancêtres jouaient déjà beaucoup : très tôt les dés et les dominos, puis au Moyen Age et à la Renaissance c’est l’explosion des jeux de cartes (comme les tarots), vient ensuite l’émergence des lotos et des loteries et enfin apparaissent aux XIXe et XXe siècles le spectacle et l’industrie du jeu (billard, machines à sous). Finalement, nous ne faisons que perpétuer les traditions !
La période des fêtes de fin d’année est connue pour celle où l’on chante le plus. Historiquement, les chants de Noël sont des chants joyeux évoquant la Nativité. Au Moyen Age, on joue les « mystères de la nativité », forme de théâtre populaire où sont mis en scène les chapitres du Nouveau Testament relatifs à la naissance de Jésus. Ces saynètes accompagnées de chants spécifiques, les chants de Noël, évoluent vers une forme qui se concentre sur l’annonce faite aux bergers. Très en vogue à la cour du roi de France au XVIIIe siècle, les pastorales sont encore populaires dans certaines régions comme la Provence. Dans certaines paroisses, les enfants jouent encore des passages de la Nativité, accompagnés par des chants de Noël répétés à la maison.
Le plus ancien chant de Noël français ayant subsisté jusqu’à aujourd’hui est le cantique « Entre le bœuf et l’âne gris » : il remonte au début du XVIe siècle. Dès le plus jeune âge, on entonne à pleine voix « Vive le vent » puis progressivement en se rapprochant de la fête des enfants, le traditionnel « Petit papa Noël », sans oublier l’indétrônable « Adeste fideles ».
Pour celles et ceux qui n’aiment pas chanter, il est toujours possible de lire des histoires, et en cette période, ce sont les contes de Noël les plus appropriés. Ces contes commencent à circuler au Moyen Age : les animaux, dotés d’intelligence et de paroles, mais aussi les anges et les lutins y occupent une place de premier choix. Les contes sont transmis oralement sous forme d’histoires, parfois moralisatrices. Le miracle se mêle finalement au merveilleux pour une histoire à raconter lors de la veillée de Noël. Mais en attendant, on lit ou on écoute ses parents lire de belles histoires, comme L’enfant de Noël, Le sabot de Noël.