Depuis le début des années 30, Hergé travaille seul, assisté de son épouse (la première) pour le gommage des crayonnés et la mise à l’encre.
En 1942, il accepte de colorier ses histoires. Cette option artistique entraîne des changements techniques et de nouvelles contraintes artistiques : pour faire baisser les coûts de fabrication et rationaliser les commandes de papier, le format et la pagination des albums correspondent désormais à 62 pages.
En 1950, Hergé décide d’envoyer son personnage fétiche sur la lune : il donne naissance à un grand récit d’anticipation intitulé On a marché sur la lune (en 2 parties), dans la lignée des romans de Jules Verne.
D’autres aventures suivent, à plus ou moins long terme (en 1966 Vol 714 pour Sydney, en 1974 Tintin et les Picaros).
Dessin extrait d'un feuillet de découpage destiné à l'album Tintin et les Picaros, 1976
Exposition au Grand Palais, Galeries nationales du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.- Ed. Moulinsart, 2016
Extrait de Tintin et les Picaros, 1976
Exposition au Grand Palais, Galeries nationales du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.- Ed. Moulinsart, 2016
Extrait de On a marché sur la lune, planche 22
Tintin chez les savants : Hergé entre science et fiction.- Science & vie, 2003
Extrait de On a marché sur la lune, planche 30
Tintin chez les savants : Hergé entre science et fiction.- Science & vie, 2003